Michèle Canet
Michèle Canet est née en 1951 à Saint-Mandé (94) où elle est restée jusqu’en 1977 avant de venir dans les Hauts de Seine : à Antony jusqu’en 1981, puis à Châtenay-Malabry qu’elle n’a plus quitté, attirée par un cadre de vie jusqu’à aujourd’hui préservé. En 1981, Châtenay présentait un équilibre entre ses espaces verts, ses quartiers villageois et la belle expérience d’habitat social qu’est la Butte rouge.
Après des études de mathématiques elle devient professeur. C’est ainsi que se manifestera d’abord son goût pour le contact, l’écoute, le dialogue. Cela se prolongera dans l’engagement syndical et associatif.
Mariée depuis 1977 elle a 3 filles. Elle continue aujourd’hui d’enseigner, refusant de faire de la politique un métier : pour elle c’est un engagement au service des autres.
Michèle Canet a adhéré au Parti Socialiste en 1983, choisissant ainsi l’action politique comme moyen pour « changer la vie ». Mais consciente de l’image souvent négative que les partis donnent, elle revendique très vite la volonté de faire « de la politique autrement ». Elle veut redonner toute sa place à la Citoyenneté.
En 1998 elle est choisie par la section socialiste de Châtenay-Malabry pour être candidate aux élections cantonales alors qu ‘elle n’a jamais exercé de mandat électif. Après une campagne résolument citoyenne, elle est élue Conseillère Générale.
Une opposition ferme mais responsable et constructive, réaffirmant toujours les valeurs de gauche qu’elle défend, fait d’elle une élue respectée et écoutée au conseil général. On sait qu’elle suit toujours les dossiers dont elle a la charge.
Réelue en 2004, et présidente du groupe socialiste depuis juin 2003, elle a mené le combat des élus socialistes contre la politique de Nicolas Sarkozy, lorsque celui-ci était président du conseil général des Hauts-de-Seine.
Parallèlement elle a été élue conseillère municipale de Châtenay-Malabry en 2001.
En septembre 2005, elle a été candidate lors de l’élection législative partielle contre Patrick Devedjian. Elle a fait progressé de 4 points le score des socialistes : 42% en 2002, 46% en 2005. Elle a de nouveau été désignée par les socialistes de la 13ème circonscription des Hauts de Seine (Antony, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry et Sceaux), pour les législatives de juin 2007 : 45% des voix, 48% sur la ville de Châtenay-Malabry.
Aujourd’hui, elle propose une équipe de gauche (PS, PC, Associatifs et citoyens) pour les élections municipales. Résolument décidée à changer le visage politique de Châtenay-Malabry, c’est un projet « 100% participatif » que veut construire cette équipe.
Après des études de mathématiques elle devient professeur. C’est ainsi que se manifestera d’abord son goût pour le contact, l’écoute, le dialogue. Cela se prolongera dans l’engagement syndical et associatif.
Mariée depuis 1977 elle a 3 filles. Elle continue aujourd’hui d’enseigner, refusant de faire de la politique un métier : pour elle c’est un engagement au service des autres.
Michèle Canet a adhéré au Parti Socialiste en 1983, choisissant ainsi l’action politique comme moyen pour « changer la vie ». Mais consciente de l’image souvent négative que les partis donnent, elle revendique très vite la volonté de faire « de la politique autrement ». Elle veut redonner toute sa place à la Citoyenneté.
En 1998 elle est choisie par la section socialiste de Châtenay-Malabry pour être candidate aux élections cantonales alors qu ‘elle n’a jamais exercé de mandat électif. Après une campagne résolument citoyenne, elle est élue Conseillère Générale.
Une opposition ferme mais responsable et constructive, réaffirmant toujours les valeurs de gauche qu’elle défend, fait d’elle une élue respectée et écoutée au conseil général. On sait qu’elle suit toujours les dossiers dont elle a la charge.
Réelue en 2004, et présidente du groupe socialiste depuis juin 2003, elle a mené le combat des élus socialistes contre la politique de Nicolas Sarkozy, lorsque celui-ci était président du conseil général des Hauts-de-Seine.
Parallèlement elle a été élue conseillère municipale de Châtenay-Malabry en 2001.
En septembre 2005, elle a été candidate lors de l’élection législative partielle contre Patrick Devedjian. Elle a fait progressé de 4 points le score des socialistes : 42% en 2002, 46% en 2005. Elle a de nouveau été désignée par les socialistes de la 13ème circonscription des Hauts de Seine (Antony, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry et Sceaux), pour les législatives de juin 2007 : 45% des voix, 48% sur la ville de Châtenay-Malabry.
Aujourd’hui, elle propose une équipe de gauche (PS, PC, Associatifs et citoyens) pour les élections municipales. Résolument décidée à changer le visage politique de Châtenay-Malabry, c’est un projet « 100% participatif » que veut construire cette équipe.